Test : Suis-je en dépression post-partum ?
Vous aviez rêvé de ce jour merveilleux, l’arrivée de votre bébé, mais rien ne se passe comme vous l’aviez prévu ? Grâce à notre test en ligne sur la dépression post-partum basé sur l’échelle EPDS (Edinburgh Postpartum Depression Scale), réalisez un premier diagnostic de votre situation.
Qu’est-ce que la dépression post-partum ?
Pour certaines femmes, la période qui suit l’accouchement, appelée phase post-partum ou période puerpérale, est synonyme de symptômes dépressifs. Survenant généralement entre 2 et 8 semaines après la naissance du bébé, la dépression post-partum touche de nombreuses femmes à travers le monde chaque année.
Cette période que vous imaginiez idyllique est finalement difficile, vous vous sentez dépassée et vous doutez de vos capacités à être la mère parfaite que vous rêviez d’incarner.
Cette dépression singulière, aussi appelée dépression puerpérale, se caractérise par des symptômes dépressifs persistants, un sentiment de tristesse et des interactions compliquées avec le nouveau-né. Elle peut toucher chaque femme, sans distinction. Pour établir clairement le diagnostic de dépression postnatale, l’état dépressif doit être présent depuis plus de 2 semaines. Contrairement au baby-blues (qui relève d’une déprime passagère), sa guérison n’est pas spontanée.
Comme dans toute forme de dépression (saisonnière, souriante, mélancolique...) cet état dépressif qui suit l’arrivée de bébé comporte 5 phases, entraîne des effets cliniques et peut évoluer vers la mélancolie. C’est pourquoi il est important de l’identifier : si vous souffrez d’une tristesse permanente depuis la naissance de bébé, prenez un temps pour réaliser notre diagnostic en ligne et obtenir de premiers éléments concernant votre situation.
Cette période que vous imaginiez idyllique est finalement difficile, vous vous sentez dépassée et vous doutez de vos capacités à être la mère parfaite que vous rêviez d’incarner.
Cette dépression singulière, aussi appelée dépression puerpérale, se caractérise par des symptômes dépressifs persistants, un sentiment de tristesse et des interactions compliquées avec le nouveau-né. Elle peut toucher chaque femme, sans distinction. Pour établir clairement le diagnostic de dépression postnatale, l’état dépressif doit être présent depuis plus de 2 semaines. Contrairement au baby-blues (qui relève d’une déprime passagère), sa guérison n’est pas spontanée.
Comme dans toute forme de dépression (saisonnière, souriante, mélancolique...) cet état dépressif qui suit l’arrivée de bébé comporte 5 phases, entraîne des effets cliniques et peut évoluer vers la mélancolie. C’est pourquoi il est important de l’identifier : si vous souffrez d’une tristesse permanente depuis la naissance de bébé, prenez un temps pour réaliser notre diagnostic en ligne et obtenir de premiers éléments concernant votre situation.
LE CHIFFRE CLÉ
10 à 15 %
On estime qu'environ 10 à 15 % des femmes souffrent de dépression post-partum après avoir donné naissance.
Source : American Psychological Association (APA)
Comment savoir si je suis en dépression puerpérale ?
La dépression puerpérale présente des symptômes assez similaires à ceux de la dépression chronique. Si l’on retrouve également une profonde tristesse, une fatigue intense et des troubles du sommeil, ici les signes sont liés à l’arrivée de votre bébé et compliquent les interactions avec ce dernier. Si vous avez des doutes, n’hésitez plus et réalisez notre test en ligne “Suis-je en dépression post-partum ?”.
Une fatigue intense
Cet épuisement permanent est une constante de la dépression postnatale. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, elle n’est pas en lien avec le manque de sommeil imposé par les besoins nocturnes du nouveau-né.
La fatigue est profonde, intense et se retrouve même si vous parvenez à dormir un nombre d’heures suffisantes. Elle rend les tâches du quotidien pénibles et affecte également l’énergie consacrée au bébé pour ses soins et son alimentation.
La fatigue est profonde, intense et se retrouve même si vous parvenez à dormir un nombre d’heures suffisantes. Elle rend les tâches du quotidien pénibles et affecte également l’énergie consacrée au bébé pour ses soins et son alimentation.
Des troubles du sommeil
Ils sont ou non en corrélation avec la fatigue ressentie. Les troubles du sommeil dans la dépression post-partum ont généralement un impact significatif sur la santé mentale et le bien-être général de la mère.
Ils se manifestent sous différentes manières telles que des insomnies, un sommeil fragmenté, des hypersomnies ou encore des nuits agitées avec cauchemars.
Ils se manifestent sous différentes manières telles que des insomnies, un sommeil fragmenté, des hypersomnies ou encore des nuits agitées avec cauchemars.
Une grande irritabilité
L'irritabilité est un symptôme fréquent et souvent sous-estimé de la dépression post-partum. Or, il se trouve qu’elle entraîne des répercussions sur le quotidien de tous et peut aggraver les autres symptômes de la maladie. La chute brutale des hormones, la fatigue constante et les troubles du sommeil engendrent un sentiment de stress et une grande irritabilité.
Un rien vous agace et vous éprouvez de grandes difficultés à gérer votre humeur. Les petits événements du quotidien sont susceptibles de déclencher des réactions disproportionnées et contribuer à créer des tensions avec votre entourage. De plus, cette irritabilité s’accompagne parfois d’un sentiment de culpabilité qui entretient le cercle vicieux de la dépression.
Si vous souffrez d’une irritabilité importante depuis la naissance de bébé et que vous avez des doutes quant à une possible dépression post-partum, alors prenez quelques minutes pour réaliser notre test. Basé sur l’échelle EPDS (Edinburgh Postpartum Depression Scale), vous saurez rapidement si vous souffrez d’un état dépressif postnatal.
Un rien vous agace et vous éprouvez de grandes difficultés à gérer votre humeur. Les petits événements du quotidien sont susceptibles de déclencher des réactions disproportionnées et contribuer à créer des tensions avec votre entourage. De plus, cette irritabilité s’accompagne parfois d’un sentiment de culpabilité qui entretient le cercle vicieux de la dépression.
Si vous souffrez d’une irritabilité importante depuis la naissance de bébé et que vous avez des doutes quant à une possible dépression post-partum, alors prenez quelques minutes pour réaliser notre test. Basé sur l’échelle EPDS (Edinburgh Postpartum Depression Scale), vous saurez rapidement si vous souffrez d’un état dépressif postnatal.
Des interactions difficiles avec bébé
Les difficultés d’interactions avec votre bébé sont un symptôme significatif pour reconnaître la dépression postnatale. Si elles n'entraînent heureusement pas systématiquement des troubles de l’attachement, elles peuvent néanmoins avoir un impact significatif sur la relation mère-enfant présente et future. Ces échanges difficiles se traduisent fréquemment par :
- Un détachement émotionnel ;
- Un manque d’enthousiasme ;
- Des difficultés d’échanges verbaux avec votre bébé ;
- De l’impatience et un manque de tolérance lorsque le bébé pleure ;
- Un sentiment de désespoir et de culpabilité .
Une profonde tristesse
Tous les symptômes de cet état dépressif sont imbriqués les uns aux autres et s’entretiennent mutuellement. La profonde tristesse que vous ressentez est générée par les autres signes, puis elle alimente à son tour les autres symptômes.
Elle entraîne des épisodes fréquents de pleurs, une perte d’intérêt, de plaisir, un sentiment de vide et une dévalorisation. Si vous vous identifiez à travers les signes de la dépression puerpérale, il est indispensable de consulter un professionnel pour vous faire aider.
Elle entraîne des épisodes fréquents de pleurs, une perte d’intérêt, de plaisir, un sentiment de vide et une dévalorisation. Si vous vous identifiez à travers les signes de la dépression puerpérale, il est indispensable de consulter un professionnel pour vous faire aider.
Comment savoir si je suis en dépression post-partum ?
Il est important de reconnaître et de traiter une dépression postnatale, pour vous, pour votre bébé et pour votre entourage.
Si vous avez des doutes, découvrez immédiatement si vous souffrez de dépression puerpérale en effectuant notre diagnostic en ligne.
Si vous avez des doutes, découvrez immédiatement si vous souffrez de dépression puerpérale en effectuant notre diagnostic en ligne.
Quels sont les signes avant-coureurs de la dépression post-partum ?
Les signes avant-coureurs de la dépression post-partum varient d'une personne à l'autre, mais il existe certains indicateurs pouvant alerter que la mère est plus susceptible de développer une dépression après avoir donné naissance. Il est important de noter que ressentir certains de ces signes ne signifie pas nécessairement que la maladie va survenir : ils sont simplement des indicateurs de risque.
Des antécédents à prendre en compte
Les antécédents, qu’ils soient personnels ou familiaux sont à prendre en considération pour évaluer les risques. En effet, si vous ou des membres de votre famille avez déjà connu des épisodes de dépression, d’anxiété ou d’autres troubles comme un burn-out maternel vous serez plus susceptible de développer une dépression puerpérale.
Les symptômes observés durant la grossesse
Si vous observez l’apparition de symptômes dépressifs durant votre grossesse (tristesse, irritabilité, troubles du sommeil…), il faut surveiller le risque de survenue de cette dépression spécifique.
Les inquiétudes liées au rôle de parent
Vous ressentez de très fortes inquiétudes sur vos capacités à être une bonne mère lors de votre grossesse ? Vous craignez de ne pas parvenir à vous occuper de façon adaptée de votre bébé ? Vous présentez alors des signes avant-coureurs de la maladie.
Précisons toutefois qu’il ne s’agit pas ici d’angoisses normales et tout à fait courantes avant la naissance d’un enfant, en particulier s’il s’agit du premier. Toutes les femmes se posent des questions à ce sujet. Dans le cadre de la dépression, les inquiétudes sont prégnantes et envahissantes.
Précisons toutefois qu’il ne s’agit pas ici d’angoisses normales et tout à fait courantes avant la naissance d’un enfant, en particulier s’il s’agit du premier. Toutes les femmes se posent des questions à ce sujet. Dans le cadre de la dépression, les inquiétudes sont prégnantes et envahissantes.
Tous changements potentiels
Tous les changements, quels qu’ils soient, sont à noter : modifications de votre appétit, de votre sommeil, TCA (troubles du comportement alimentaire), sentiment de désespoir ou de tristesse qui apparaissent sont autant de signes avant-coureurs possibles.
Notez également que des événements stressants tels que des conflits familiaux, un choc émotionnel, des soucis financiers ou professionnels augmentent le risque de développer une dépression post-partum.
Notez également que des événements stressants tels que des conflits familiaux, un choc émotionnel, des soucis financiers ou professionnels augmentent le risque de développer une dépression post-partum.
Comment diagnostiquer la dépression post-partum ?
Le diagnostic de la dépression puerpérale est généralement effectué par un professionnel de santé mentale, comme un psychiatre, un psychologue ou un médecin spécialisé dans la santé maternelle et infantile. Il repose sur une évaluation complète des symptômes, de l'historique médical et de la présentation clinique de la mère. S’il n’y a pas de test préétabli et universel de la dépression postnatale, il existe néanmoins des étapes typiques du processus de diagnostic :
Pour que le diagnostic de dépression post-partum soit posé, le patient doit présenter une combinaison de symptômes spécifiques pendant une période prolongée (au moins deux semaines) et ressentir une détresse ou une altération significative de son fonctionnement quotidien.
Sachez que le test “Suis-je en dépression post-partum ?” peut vous aider. Réalisez votre diagnostic en ligne dès maintenant, il vous donnera de premiers éléments concernant votre situation et des clés de réponse pour sortir de la dépression.
Ces critères comportent :
- Une évaluation complète des symptômes ;
- Des diagnostics différentiels écartés : déséquilibres hormonaux, autres troubles mentaux, pathologies de la thyroïde ;
- La durée et l’intensité des symptômes : intenses et présents depuis au moins 2 semaines ;
- Les antécédents personnels et familiaux ;
- Les impacts de ces signes sur la mère et sur l’enfant.
Pour que le diagnostic de dépression post-partum soit posé, le patient doit présenter une combinaison de symptômes spécifiques pendant une période prolongée (au moins deux semaines) et ressentir une détresse ou une altération significative de son fonctionnement quotidien.
Sachez que le test “Suis-je en dépression post-partum ?” peut vous aider. Réalisez votre diagnostic en ligne dès maintenant, il vous donnera de premiers éléments concernant votre situation et des clés de réponse pour sortir de la dépression.
Ces critères comportent :
- Au moins 5 des symptômes suivants doivent être présents la plupart du temps chez la mère : humeur dépressive ; perte d’intérêt ou de plaisir ; changement significatif de poids ou d’appétit ; insomnie ou hypersomnie ; agitation ou ralentissement psychomoteur ; fatigue ou perte d’énergie ; sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ; difficulté à penser, à se concentrer ou à prendre des décisions ; pensées de mort ;
- Les signes cliniques entraînent une détresse importante ;
- Les symptômes ne sont pas dus aux effets de certaines substances telles que les médicaments ou l’alcool ;
- Les symptômes ne sont pas explicables par un deuil.
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